Présentations

Merci Gaëlle...

tes propos sont intéressants, j'y croirais bien, si je n'avais pas déjà vécu des expériences emblable, personne ne peut comprendre les gens vivants dans la solitudes, pas même les autres solitaires, car, toutes solitudes est différente, j'essayerais de mâppliquer a ne pas tropo vous choquez mais a assez me confier pour bien essayer...

merci...

Kikou,

Bienvenu à toi Armancio, je viens de me rendre compte que je ne t'avais pas salué à ton arrivée.
J'éspère que tes aspirations du moment trouveront un écho dans ce modeste salon qui se veut intimiste, loin des grosses armadas où le nombre d'inscrits empêche de connaitre tout le monde.
Je l'ai voulu reposant et convivial, un peu comme une aire calme et sereine où chacun se prête au jeu et écoute les murmures esquissés de quelques passagers en partance, en errance, en arpente.
Il y a quelques poufs en soie rare de shushan, quelques biscuits épicés et du thé au jasmin qui nous vient tout droit de Keshe.
Voilà le décor, il ne me rste plus qu'à m'assoir et écouter tout ces petits riens qui font de nos toiles un univers de partage et de cultures.

Mille mercis d'être là

Mille bises

Gaëlle

Que dire de plus que Gaëlle, si ce n'est qu'elle a raison...
Bienvennue à tous en espérant vous apporter assez de fraîcheur printanière mais surtout une longue oreille pointue, toujours à la disposition de ceux qui en ont lourd sur le coeur.
Je remarque que je suis la plus matinale ici...

Ami noctambule, quitte la sombre merveille d'une nuit aux éclairages dorés pour te réveiller, une fois au moins, avec le soleil et les oiseaux. Sent fraîcheur et vie te transpercer grâce à une douce rosée. Ecoute les milles bruissements de la vie qui s'éveille lentement, regarde les couleurs qui renaissent sous l'astre du jour.
Un matin unique et poétique t'ouvre les bras, profites-en...

Alambrine qui aime travailler tôt le matin...

Bienvenue Petit Coeur !!


J'espere sincérement que tu pourras trouver du plaisir en notre compagnie , viens donc t'installer pres de nous sur ces onctueux coussins, prend donc un peu de thé et parlons, tout simplement !
Ne te sens pas obligée de repondre, mais quelles sont tes passions ? tes gouts dans la vie ?
En tout cas heureuse de te rencontrer et j'espère avoir l'occasion de te croiser à nouveau

Bienvenue Kerwen !!!
Salut a toi surfeur Celte !! Nous sommes deja a demain alors surtout n'hesites pas à te présenter aussi, il reste un coussin entre lyhn et petit coeur !!!!

Bonne journée a tous et bon 1er avril !!!

Shandrill

merci a vous tous...

Je vais déjà mieux...(et oui c'est pas un poisson d'avril^^)

Kikou,

Bravo !!!

Tout d’abord bravo à toi petit cœur de t’obliger à voir que la vie est belle le matin avec le soleil qui chante sur les toits de verdures des jours de grisaille.

Merci aussi de me donner un petit coup de main pour faire de ce site ce hâvre merveilleux.

Bravo encore à Alambrine, qui nous fait de superbes petits poèmes, l’air de rien, sans rien dire, et qu’en plus ils sont superbes ces mots là !

Alors maintenant que l’on sait cela … à quand la suite ?

Bravo enfin à vous tous d’être aussi généreux, d’être autant à l’écoute et de donner du temps au temps tout simplement.

Je vous remercie du fond du cœur, et vous connaître ainsi, amis de la toile de mes nuits est une joie sans fin, chaque jour renouvelée à la lecture de vos posts.

Mille mercis

Mille bises

Gaëlle

Kikou,


Je regarde le monde et je pleure, oui, on peut pleurer, on peut rire, on peut toujours se cacher la dure réalité, mais on ne peut pas faire semblant d’être heureux.

Je repense à ton blog, Petit coeur, et à ces mots glacés que tu laisses sur la toile de cet inconfort verbal, de cette peur viscérale, de ce monde qui te fait plus pleurer que rire.

Et puis il y a ces deux faces, lune cachée, lune offerte, l’une que tu montres à tous et ton déguisement de bonheur, et l’autre que tu caches au plus profond de ton âme.

Ambivalente et bicéphale, combien il est difficile de se trouver, et combien il est facile de se perdre dans le dédale de nos errances à se chercher soi même.

Je vais te livrer un peu de moi, parce que je suis sûre que mon cheminement n’est pas loin du tien.

Amour ou amitié, c’est une difficile question, l’une est si proche de l’autre.

[...]

Ce texte est extrait de mon journal intime, alors que j’avais treize / quatorze ans. Je l’ai juste remis en forme, afin qu’il ne soit pas trop enfantin, mais c’est un morceau de moi, et je crois que c’est de ce désespoir récurent, que j’ai pu trouver ma voie, qu’aujourd’hui encore je suis, à l’écoute de ceux que je vois…..

Perdue à la dérive, je regarde passer les jours, les semaines, les années. Je sais qu’il m’a quitté, de toute façon je n’intéresse personne, que quelques machos, qui ne veulent de moi que ce que cachent mes jupes.

Fuite bizarre de ces jours et de ces nuits qui se confondent, et se nouent, jusqu’à ne faire qu’une longue trame au sein de laquelle je ne sais plus bien qui je suis, qui ils sont.

Mon amie M… ne me parle plus, depuis qu’elle sait de J… veut sortir avec moi. C’est ma meilleure amie, et je n’ai rien fait pour provoquer J…

Dernier rempart qui se casse, et je vois la vie qui s’écroule, derrière le bastion de mes amours blessées, déçues, perdues. Je suis seule, j’ai peur et j’ai froid.
Mes parents n’imaginent même pas le drame de ma vie, ils s’imaginent que je suis heureuse, parce que je ne manque de rien.

Mais au contraire, je manque de tout !

Je n’ai plus mes repères, j’ai perdu mes gardes fous, aujourd’hui je suis lasse, et une pensée m’obsède, loin des veillées heureuses de ma maisonnée singulière.

Aujourd’hui que je suis dans une impasse, je regarde ce pont, noir, comme la nuit. J’y suis en dix minutes avec mon vélo, il enjambe la voix ferrée, qui mène vers où ?

Un semblant de bonheur, qui ne me convient pas.
Je donne le change, mais personne ne s’intéresse à moi, j’ai mal, je saigne mais tout le monde s’en fout.
Ma sœur a tous les bonheurs, du monde, je n’en ai pas même un.

F… m’a quittée parce que je ne voulais pas coucher, et puis je ne goûtais pas à sa satanée herbe de malheur, pourtant il me disait que je verrais de merveilleux ailleurs.

Aurai je dû succomber ?

Baudelaire lui aussi s’est perdu dans l’absinthe, tout comme Apollinaire, et que leurs mots sont justes, flanqués d’une beauté toute soulignée de grâce, est ce là le leurre d’une vie de drogue et d’accoutumance ?

Je regrette presque de ne pas lui avoir cédée, il serait toujours avec moi.

Et ma mère qui ne voit rien, et qui l’invite à l’anniversaire de ma sœur. Il m’a laissée toute seule, au moins il n’est sorti avec personne d’autres.

Mais bon, il ne m’a même plus regardée, je ne suis qu’un vieux torchon sale et usé.

P… et ce pont qui m’obsède, solution finale, au delà de mes espérances.

Plus jamais de soucis, je serais enfin belle dans le cœur de ceux que je laisserais au bord du chemin.

S’annuler simplement, se rayer de la carte, je ne manquerais à personne de toute façon alors.

Si à ma chienne Léa, elle je lui manquerais forcément. Elle n’aurait plus de câlins, et tous ces bonbons dont elle raffole tant.

Oui mais c’est bien peu de choses, je ne suis utile à personne. Je me hais.

[...]

(Dix jours après)

Il m’a souri, je l’ai regardé. Il est beau, je l’aime passionnément. Je passe ma journée à penser à lui, j’écris son nom partout, jamais je n’aurai pensé qu’il puisse s’intéresser à une fille comme moi.

Pourtant son prénom ne me plait pas, mais il est quelqu'un d’autre que celui que j’imagine s’appeler ainsi.
On se retrouve ce soir à la cafet, j’espère qu’il viendra. Comme il est beau, comme je l’aime.

[…]

Je suis rentrée très tard, ma mère m’a grondée, mon père n’en saura rien il est de garde aux urgences.
Jamais encore on ne m’avait embrassée ainsi, il a comme une retenue naturelle, nos lèvres s’effleurent et ne se touchent presque pas, combien il y a de respect dans ces baisers là.
Il est beau, il fait pleins de sports, il m’a dit qu’il me voyait souvent à la piscine pendant ses entraînements.
Je ne l’avais jamais remarqué.
Le bonheur est parfois si près de soi, qu’on ne le voit pas.

Ma sœur le connaît, elle m’en a dit du bien, remarque elle ne sait pas encore que je sors avec lui.

Une sœur c’est une mère en plus jalouse.

On se revoit demain, qu’il me tarde de le retrouver ô comme je l’aime. Il y a longtemps que je n’ai pas entendu autant d’oiseaux.

Le monde se met il en accord avec moi ? Ou est ce ma perception du monde qui change avec mes sentiments ?

Tiens il faudra que j’y réfléchisse, mais pas de philo aujourd’hui. je vais lui écrire une lettre, je l’aime tant, mon cœur chavire …. Il est si beau.

[...]

Je suis restée dix années avec lui, je lui ai offert tout ce que je pouvais lui offrir, nous nous sommes beaucoup aimés, et souvent nous sommes allés nous promener sur ce pont de chemin de fer, afin d’exorciser notre malheur.
J’ai été hyper heureuse avec lui, et il m’a beaucoup appris.

Nous projetions de nous marier, mais il a eu un accident de moto, un soir en rentrant de boîte, tués par des copains de fac, qui sont morts eux aussi, pour rien, juste pour avoir trop bu.

Moi j’ai été éjectée de la moto, et je n’ai rien eu, juste un bleu à l’épaule.

Mais cet amour m’a donné une telle force, qu’encore aujourd’hui je crois qu’il a fait de moi ce que je suis devenue.

Comme quoi, même dans les pires moments on peut trouver ce garde fou qui fait, qu’après, notre route est plus droite.

Je ne veux pas que ce texte soit triste, il n’est pas là pour ça, juste pour te montrer petit cœur, que la vie est belle, et que chaque épreuve qui te semble insurmontable, te donne les moyens de franchir plus dur encore.

Mais il ne faut jamais baisser les bras, car tu es alors entraînée par les flots impétueux de la vie jusqu’à toucher ses bas fonds.

Mille bises

Gaëlle qui parle rarement d'elle

Merci Gaëlle pour ces instants d'intimité et courage petit coeur

Il faut beaucoup de courage parfois, pour parler des moments durs de la vie. Merci gaelle, a la fois pour ta sincérité, mais aussi pour la grande vérité de tes paroles, celle que la vie, malgré tous les obstacles qu'elle dresse devant nous, vaut la peine d'etre vecue et d'etre aimée

je vais vous dire franchement ce que je pense et ce que je ressens,

Mes parents se sont divorcé a l'âge de six ans, j'étais encore trop jeune pour me rendre compte,maintenant mon père c'est remarié avec une femme très belel et gentille mais aussi très jeune et afriquaine( pas que se soit la couleur qui me dérange)

Maintenant j'ai une petite soeur, je saiss uq'il ne faut pas que je m'inquiète mon père m'aime toujours autanzt et blabla et bla bla...Mais les gens qui disent de ne pas s'inquièter ne connaissaient pas LA situation...Et sa fait terriblement mal..

En plus maintenant que je suis tombée amoureuse du copain de ma meilleure amie, tout ne va pas pour le mieux, car ma meilleure amie sait qu'il m'aime "bien" et elle s'inquiète parce qu'elle sait que je l'aime et je la rassure lui dit qu'il l'aimerasi toujours et tout et tout...mais elle ne pense pas quand la rassurant je me fais mal...
Chaque fis que je les fois a coté c'est une fissurre de plus dans mon coeur...

A la fin il va craquer...


Sinon ton texte est très touchant, le seul problème, c'est que je ne suis pas adminb et je ne peux pas changer les trucs que je t'ai dis que je ferais...si tu me mets admin je pourrais les faires!

Bon,

Milles bisouxxx a tous!

PcDn

quand j'etais adolescente, mon copain d'alors a fait des avances a ma meilleure amie, eviemement elle me l'a caché pour ne pas me faire de mal.
Le truc c'est que je l'ai appris par d'autres personnes, qui elles, n'etaient pas des amies. Ca m'a brisé le coeur, d'abors par la trahison de mon copain, mais surtout par le mensonge de ma meilleure amie.
Je sais que chaque situation est particulièreet qu'on ne peut pas tout comparer, mais il est imoprtant , situ tiens a ton amie, de ne pas lui mentir, de lui dire que peut etre son copain ne l'aime pas vraiment.
Je ne sais pas quel choix vous ferez si vous en parlez toutes les 2 (que ton amie reste avec lui, qu'elle te laisse l'aimer, ou que vous choisissiez plutot l'amitié que l'amour ensemble); mais une chose est sure, la sincérité est une grande vertu, elle est essentielle pour etre en harmonie avec son propre coeur et sa propre ame.

Ce n'est que mon humble avis, peut etre certains seront en désaccord, mais c'est mon point de vue en toute sincérité

pleins de bisous a toi, petit coeur, et a tous les voyageurs d'Arpentes et Songes

Shandrill

La cituation est a quelque evênement comparable je pense ,mais,

Son copain l'aime vraiment et c'est ça qui me fait mal mais aujourd'hui on a eu une discutaion avec ma meilleure amie qui a résolu bien des choses...
Merci Quand même pour vous valeureux conseils!

Mille bisouxxx

PcDn

Kikou,

Dualité infâme, voleuse d’âmes.

Je suis un pion dans ce monde de cons, juste un tout petit pion, à qui personne ne fait plus attention.
Alors que la mer est houleuse, je reste seule, sur ce petit radeau, juste là pour survivre, loin des histoires de grands.
Depuis longtemps les disputes succèdent aux disputes, ils ne s’aiment plus, ne se supportent plus, n’arrivent plus à se comprendre, étrange paradoxe, eux qui s’aimaient d’un amour si fort, eux qui berçaient ma vie de leurs espérances, eux en qui je croyais dans ma plus tendre enfance.

Aujourd’hui déchirés, haïs, dépités, ils ont fermé à clé le grenier de mes rires, et ne voient pas les larmes, amères, qui coulent sur mes joues.

Cheminant solitaires, sur leur voie sacrée, ignorant tout de ce, sur quoi j’avais fondé, ma perception des grands : un amour, des parents ! Ils gèrent leurs problèmes, me sourient parfois, histoire de bien me dire, que je n’y suis pour rien, mais ils ignorent sans doute, que je suis le fruit défendu de leurs amours déçues, et que je n’existe que par les souvenirs qu’ils ont, d’une vie à deux, d’un bonheur, d’une passion.

De loin en loin ils me regardent, doutent et me regardent encore, soucieux de ne pas se dire, que ce jour là, ils ont fait une erreur.

Pourtant je les aime encore, comme avant, tous les deux. Loin des passions de leurs désillusions, je n’ai rien compris à cet orage soudain, qui m’a privé du jour au lendemain, de ce cocon de soie, de cet amour de moi.
J' erre seule, triste, sans but, si ce n’est de comprendre ce que les grands n’osent dire, ce que les grands nous infligent, juste parce que nous sommes des pions, des empêcheurs de tourner rond.

Loin de moi le désir de juger ou de médire, juste l’envie de retrouver cette complicité, cet amour inébranlable, cette bouée de sauvetage, sur cette mère démontée.

Par delà les relents de brumes, loin des rivages de mes paisibles années amies, où ils formaient un couple uni, je me bats toute seule dans cette eau verdâtre, dans cette eau saumâtre, si loin de ce chaleureux âtre.

Et puis il a refait sa vie, chemins câlins qui se recroisent, et à nouveau aveuglé par son idylle, je ne suis plus que le pion, celui qui l’empêche de la voir, lui qui a déjà fini de me voir.

De ruelles en impasses, je ne l’intéresse plus, jusqu’à ce qu’elle arrive un jour, et dépose ses valises, et me dit qu’elle est ma nouvelle mère, alors que je ne l’ai pas choisie.

Que dire de ma douleur, lorsqu’il regarde ma nouvelle sœur, et qu’il lui offre toutes les roses de sa vie, sans même m’appeler chérie.

Elle est tout son nouveau bonheur, moi, je ne lui rappelle que sa rancœur, et je sais que demain il ne me sourira plus, aveuglé par son nouvel eden.

Je ne veux pas être le pion renversé, je ne veux pas être celle qui a tout fait, je veux simplement exister, et voir autant de bonheur dans ses yeux, quand il m’offre son regard, que de lucioles allumées, lorsqu’il regarde ma sœur.

Pourquoi la vie est si triste ?

Pourquoi les grands sont ils si compliqués, alors que moi, je n’ai rien demandé ?

Maintenant je suis née, et il n’y a plus personne pour m’assumer !

Et je me dévore de jalousie, loin de ma confortable petite vie.

Et voilà que tout se répète, je trahis l’amitié de ma meilleure amie, oui mais je n’ai pas tout fait, car il me regarde aussi, et je ne fais que reproduire le schéma de mes parents, au delà de mes idées d’enfant.

A frôler les rois, les pions se cassent, de ruelles en impasses, je ne suis plus la même.

Dans les engrenages secrets des alcôves feutrées de nos états d’âmes, il se peut que je n’aie pas toutes les prospectives, aveuglée par l’immédiat trop présent.

Et si j’arrêtais de ne tout voir que par moi, et que je leur cherchais des circonstances atténuantes, sans pour autant enlever mon pion ?

A trop regarder sa peine, elle nous emmure et on ne voit plus rien d’autre.

Si j’essayais, juste pour voir, de regarder la vie du côté de mon père, du côté de ma mère, du côté de ma sœur.

C’est vrai que j’ai droit à des égards, je ne suis pas le pion qui ne fait que gêner, même si je suis celui qui peut tuer la reine, et terrifier le roi.

Mais si je change de couleur, je suis celui qui donnera la victoire aux blancs ou aux noirs.
C’est juste à moi de voir.

Jusque là on m’impose, on m’oblige, on m’oublie, mais si je me prends en charge, et que j’essaye de les comprendre, même si ce n’est pas facile, je deviens une actrice, et j’existe à nouveau, loin des ruelles et des impasses où me parque ma douleur.

Dès lors je ne suis pas un pion, je suis celui qui fera gagner mon camp ou l’autre, par ma décision.

Existe, petit cœur, sans t’enfermer dans les cachots de ton « moi ». Car au delà de lui, il y a la vie, et les pions sont égaux, et tu reprendras ta place au sein de l’échiquier.

Ca ne sert à rien la haine, juste à détruire ton « toi ».

Au delà des larmes, il y a une enfant, malmenée par la vie, par des parents désunis, qui ne voit plus rien d’autre que sa vie.

Cette vie est belle, aussi, il suffit de la regarder d’une autre façon, en te mettant juste à la place de ceux à qui tu tiens.

Alors tu verras l’autre monde, l’autre face de la lune, et tu trouveras cet équilibre, qui te manque tant aujourd’hui.

Rien n’est figé, et ton regard peut changer, lui aussi, juste en te décalant, juste en les comprenant.

Courage petit cœur, mais la vie est ainsi, à toi de savoir jouer avec les pions de tes envies.
Saches que tu es toujours la seule à regarder, c’est toi qui te fabriques ta peine, et qui cimentes les briques de tes murs.

Pourtant, parfois, la vérité n’est pas loin, et l’amour est tout près … dans le pré.

Mille bises

Gaëlle

Kikou Shandrill,

Mille mercis d'être là et de donner à cet endroit ce côté intime que je souhaitais tant.
Ici on écoute simplement, on essaye de s'aider, juste un petit peu, parcequ'ensemble on est toujours plus forts, et qu'on a tous fait nos expériences, bonnes ou mauvaises, qui nous ont fait grandir et qui peuvent servir d'autres âmes en peine ....

Je suis vraiment ravie.

Mille bises

Mille mercis à toutes et tous.

Gaëlle

Excusez moi,vous n'auriez point trouver un gland en ces lieux?

Phénalène Durchêne,pour vous servir...



J'ai l'impression de me retrouver aux abords d'un grand lac des Marches Modéhennes ici...çà respire la magie des Muses...

Sois le bienvenu mon cher Phenalene !!!
J'ai bien vu une petite bestiole faire un tour dans le coin, mais jusqu'a dire que c'etait un gland ...

Shandrill (qui aime bien ton nom )

Milles merci,mais je crois bien que j'ai retrouvé mon gland...
Je l'avais tout juste enlevé de mon cou pour le protéger des assauts de l'Hiver...
Je suis très heureux que mon nom te plaise,comme tous les autres que j'use en ta compagnie...

Lutin malicieux

Si je comprends nous nous sommes deja rencontrés en d'autres lieux, le truc c'est que je ne vois pas car je ne connais pas de lutin du nom de Durchene dans ces autres lieux de voyage tu m'aides ? (sinon moi aussi je change de nom et personne me reconnaitra, na ! )

Je t'aiguille une fois de plus alors,vu que tu as mis ton intuition féminine au repos

Je sais être bourru ou charmant en d'autres lieux...

comme par exemple un nain et un elfe ? (si c'est ps ca c'est un peu la honte alors ne t'en offusque pas cher lutin
j'aurais bien pensé a un elfe et un farfadet aussi (mais quand meme, passer de farfadet à lutin... )

Je me permets une aparté pour revenir sur le post de Gaelle.
juste pour dire que si tes paroles s'adressent a petit coeur , elles font du bien a tout le monde (dont moi), en tout cas, ca rappelle que nous sommes tous libres, libres de nous battre ou de ne pas le faire. et que cette liberté n'engage qu'une chose c'est notre responsablilité, celle d'avoir essayé et celle de n'avoir rien fait !
Merci gaelle

Kikou, Halb….. heu Phénalène !

Je suis très heureuse de t’accueillir ici.

A mille lieues des secrets d’Agone en filigranes du Phénix, tu es ici chez toi, dans ce petit salon. Pas de grandes phrases, pas de cérémonies, juste l’envie d’être là, de partager son âme, dans une chaleur certaine, et quelques morceaux de toi, que tu oses enfin murmurer, par delà les coussins, ou seulement écouter, ceux qui en ont besoin.

Comme tu peux déjà le lire, sur les quelques posts de cette bibliothèque de songes, il y a des trésors, que nous partageons sans honte, sans tabous, dans l’intimité, de ces morceaux de soi, dont on se sépare presque à regrets, tant ils sont nous, loin des fards et des faux semblants.

Bienvenu donc en ces lieux, cher lutin des chênaies, assieds toi sur ces coussins moelleux, prends un thé, de la cannelle et des bergamotes et h’hésites pas à partager, notre malle à souvenirs.

Mille bises

Mille mercis d’être ici
J'en suis vraiment ravie.

Gaëlle.

Shandrill a écrit:

Je me permets une aparté pour revenir sur le post de Gaëlle.
juste pour dire que si tes paroles s'adressent a petit coeur , elles font du bien a tout le monde (dont moi), en tout cas, ça rappelle que nous sommes tous libres, libres de nous battre ou de ne pas le faire. Et que cette liberté n'engage qu'une chose c'est notre responsabilité, celle d'avoir essayé et celle de n'avoir rien fait !
Merci Gaëlle

Kikou ma toute belle,

Mille mercis ma très chère amie, juste quelques mots du cœur, qui touchent de par leur candeur, tout ceux qui font l’effort de ne pas les juger, juste de les entendre … murmurer.

Comme tu le dis si bien, la liberté est un précieux secret, elle nous donne des ailes, nous permet de voler, au dessus des folies incertaines de ces mille mondes qui déforment les mots pour en faire des querelles, alors qu’il n’y a pas lieu de les effaroucher.

Combien je suis heureuse de te lire, au delà de ces lignes, et percevoir ton cœur, et cette âme si pure, qui danse et augure, au diapason des toiles.

Mille mercis

Mille bises

Gaëlle

@Shandrill: Bonjour Shandrill
Toi qui voulais connaître cet auteur, Boris Cyrulnik, en rapport avec ce que tu as écrit:

Nos souffrances nous contraignent à la métamorphose et nous espérons toujours changer notre manière de vivre. C’est pourquoi une carence précoce crée une vulnérabilité momentanée, que nos rencontres affectives et sociales pourront restaurer ou aggraver.

Un malheur n’est jamais merveilleux, C’est un fange glacée, une boue noire, une escarre de douleur qui nous oblige à faire un choix : nous y soumettre ou le surmonter.

@Oups: j'ai oublié de souhaiter la bienvenue à Armancio, Lynh Aélis, Kerwen et Phénalène (ça fait beaucoup de monde d'un coup) , vous semblez tous vous connaître

Bienvennue Phénalène!
Je suis contente de te revoir, mon cher frère de saison! Cela faisait longtemps que nos chemins ne s'était pas croisé .
Enfin j'espère que tu trouvera ici toute la chaleur nécessaire à ton épanouissement artistique, car je sais qu'au delà des aparences someille un artiste aux nombreux talents!

Que tes heures sur ce petit coin de toile ne soit que plaisir et bonheur!