Au capitaine d'un merveilleux galion que le vent des arpentes fortuites pousse vers des rivages cachés
S'arrêtant de port en port, y déposant des trésors que les plus valeureux pirates n'auraient espéré
A chaque escale, sa délicate voilure dessine un sourire contagieux multipié par milliers.
Dans son sillage, raisonnent l'écho de ses mots, laissant sur une mer bientôt apaisée, des pierres précieuses, reflet d'une affectueuse voix lactée.
Oh Capitaine, mon capitaine
Mille milliard de mille sabords de tonnerre de Brest
Qu'il est bon de faire partie de ton équipage
Mercis Gaëlle