Coucou,
Parfois en prêtant une oreille attentive, on peut offrir son aide à qui en a besoin. Rien, juste un peu d’aide, une écoute attentive, un hochement de tête. Un sourire esquissé, un éclat dans les yeux, une larme partagée, rien, juste un peu de vie, un peu de joie, un peu d’amour dans cette vie difficile, où personne n’écoute plus personne.
Dernièrement je suis tombée sur un blog, et je dois dire que tout a basculé. Un désespoir à fleur de peau, une honte totale et ce petit bout de toile pour exorciser cette peine si palpable. Et des parents qui ne voient rien, et des destins sombres, qui sombrent devant tout le monde.
Moi non plus je n’ai rien fait, juste lu cette confession sublime, murmurée à un ordinateur, devant un écran d’espoir.
Simple partage !
Mille bises
Gaëlle
http://melodiane.skyblog.com/
Je remets ce texte. Suite a du plagiat intensif , je l'avais retiré il y a quelques mois.
Je le replace dans ce blog car je ne veux pas ecrire un article sur le thème qui suit, je pense que le texte en lui-même se passe de commentaire.
Sauf un .. LAISSEZ A SA PLACE SI C'EST PAS IMPOSSIBLE!!
25/09/2003
Je l'aimais c'est un fait tous les deux ont c'étaient jurés,
De jamais jamais se quitter , il y a tellement de chose qui nous liait.
A 16 ans j'avais l'innocence de penser ,
Que l'amour ça existait ,
Y'avais qu'a nous voir lui et moi,
Nous deux on marchaient droit.
Pas de regard derrière nous , c'est l'avenir
Que je voyais dans son beau sourire.
De ses paroles je ne doutais pas ,
Son sourire ne vacillait pas ;
Quand il me disait ca :
Je t'aime , tu seras ma femme pour la vie,
On sera heureux mais tu le sais je t'ai promis,
Des que l'on peut on se sauve d'ici,
Tu deviendra la princesse de mes nuits.
En effet un soir j'ai quitté ma famille,
Ceux que j'aimais , tous mes amis.
Normal l';amour était plus fort que tout,
Il fallait que l'on s'unisse un point c'est tout.
Chez lui il m'a emmené , c'est la que j'ai posé,
Mes maigres affaires et toute ma dignité.
Un jour il a fait venir des amis,
J';étais heureuse c'était le paradis,
Puis ils ont commencé a fumer ce qu'on appelle du techi,
Ils sont passé au rail et la c'était parti.
A plusieurs il s'y sont mis,
Leur mains m'ont touché , m'ont envahie,
Je suffoquais , je crevais pendant qu'il regardait
Et , le souffle court, me murmurait :
Je t'aime ma puce regarde les ,eux aussi,
Mais tu le sais je t'ai déjà dit.
Quand t'aura réussi a les faire jouir,
Ma ptite femme je t'aimerai et meme pire.
Quand tout s'est terminé , je l'ai vu qui rigolait,
J'avais mal de ces membres qui m'avaient pénétré,
Envie de gerber ,de hurler , de les tuer,
Je comprenais pas comment ça pouvais arriver.
Alors c'est des histoires vraies ,
Ca existe ce genre d'atrocité ,
Mais je ne savais pas qu'il allait faire pire,
Me volant tout jusqu'à mon avenir.
Il m'a rendu esclave de sa drogue qui,
Me permettait de tenir le cou durant toutes ses nuit,
Ou des mains étrangères m'ont salie,
Contre un peu d';argent que je ne touchait mm pas.
Il avait réussi ,
A détruire ma vie ,
A salir jusqu'à mon esprit,
J'étais résignée , j'avais plus rien a espérer.
Revenir chez moi , pas possible , j'étais trop sale,
Le quitter finalement ça faisait trop mal.
Et encore et toujours il disait :
Je t'aime tu es ma femme pour la vie,
C'est dans tes yeux que chaque jour je grandis,
Regarde moi arrête de pleurer ,
Tu es une salope , essai de t'assumer.
Après les injures et les viols sont venus les coups,
Ils pleuvaient tous les jours sur mon corps mutilé,
Mais que répondre et que penser,
Quand on a plus rien a dire , à exprimer.
A 16 ans je n'étais plus rien , mes talons aiguilles,
Ont foulé tous les trottoirs , la ou ça part en vrille,
Camée , blessée , mutilée
Je courbais le dos quand je marchais.
Tous les soirs je lui demandais , tue moi sil te plais
Et la il me répondait :
Je t'aime a jamais , mets toi ça dans ton crane de prostituée,
Allez maintenant c'est l'heure va te faire baiser,
Reviens avec la tune et le cul éclaté,
Ou ne reviens jamais.
Vous y croyais ? tous les matins je revenais,
Le corps en sang , l'esprit déchiré,
Me mettre dans le lit a ces cotés,
Après avoir soigneusement déposé,
L'argent que je lui devais.
Il me prenais passionnément,
On avait tellement l'air de jeunes amant,
Je l'aimais , je l'aimais a la folie,
Est ce possible quand on pense qu'il m'a détruit ?
Il a volé mon coeur, et la gardé,
Il a volé mon corps et la vendu,
Il a volé ce que j'avais ma dignité,
Il m'a volé aussi a ceux que j'aimais.
Je l'ai relu .. le style n'est pas très académique, mais c'est justement le coté "académique" que j'ai voulu éviter. Je pense que l'effet produit n'en ai que plus important.
Tous droits réservés a Melodiane